
Khartu-Al
Description
Le Khartu-Al est un chasseur léger produit par le constructeur Aopoa. Ce vaisseau d'inspiration Xi'an se distingue par ses moteurs rotatifs et par sa transformation pour atterrir.

Timeline 2025
Pour le lancement officiel du Reliant, MISC choisit de ne pas mettre en avant la connexion avec les Xi'ans ou la similitude entre ses modes de vol et ceux du Khartu-al. Le fabricant préféra suivre les traces de sa campagne très réussie “Construit pour la vie”, et présenter le Reliant comme un vaisseau fonctionnel. Pour promouvoir cette idée, il offrit un lot de vaisseaux à diverses entreprises et professionnels, chacun accompagné d'une équipe chargée de tourner un documentaire. Quatre transporteurs Kore furent donnés à deux entreprises cherchant à financer des routes commerciales à court terme, deux Mako aux deux principales sociétés de diffusion sur Terra, un Sen à une expédition d'étude de la couronne d’une étoile, et un demi-escadron de Tana à un groupe de colons préparant leur installation sur une lune reculée (dont l'emplacement ne fut pas précisé dans ce marketing). Tous ces vaisseaux firent l’actualité partout où ils allèrent (quand ils ne diffusaient pas eux-mêmes cette actualité), et leur impact global fut impressionnant, communiquant au public le sentiment de leur omniprésence. Les concessionnaires MISC furent inondés de demandes d’informations, et le Reliant devint rapidement le vaisseau au lancement le plus réussi de l’entreprise. Dès l’année suivante, il s’imposa comme l'un des modèles les plus recherchés de la société, ce qui n’était pas rien pour le vaisseau devant assurer la relève du célèbre Freelancer !
Sans surprise, la Navy de l’Empire uni de la Terre sera parmi les premiers clients du San’tok.yāi. Selon le Bureau naval du budget et de la planification, l’armée a reçu l’autorisation de réquisitionner neuf de ces vaisseaux. Si ces exemplaires suivent le même schéma que les précédents modèles extraterrestres acquis par l’armée, ces San’tok.yāi seront répartis entre objets d’étude d’ingénierie destinés à être désassemblés et appareils d’entraînement pour simuler une force ennemie (l’Empire ne reconnaît pas formellement qu’il utilise des vaisseaux xi’ans ou des répliques de vaisseaux xi’ans dans la formation au combat, bien qu’il ait régulièrement acheté des Khartu-al pour des projets de recherche non spécifiés depuis leur introduction dans l’espace humain).
Les premiers témoignages militaires fiables sur le chasseur moyen xi’an en service remontent à 2937, lorsqu’un Hornet en mission d’entraînement se trouva à portée de scanner d’un groupe de six de ces vaisseaux en patrouille. Les informations recueillies lors de cette rencontre concernant sa vitesse et sa manœuvrabilité confirmèrent les théories existantes selon lesquelles il utilisait une version améliorée des propulseurs de manœuvre à double vecteur que l’on trouvait sur les Khartu-al antérieurs. En avril 2938, un avant-poste de télédétection enregistra deux chasseurs moyens xi’ans venant à la rescousse d’un transporteur assiégé par des pillards, hors de portée visuelle. Les données des capteurs confirmèrent les rapports de seconde main concernant le système de double propulsion amélioré et, surtout, l’analyse spectrale révéla pour la première fois que l’arme énergétique située dans l’axe central du vaisseau était un modèle d’arme à répétition laser jamais rencontré jusque-là. D’autres rencontres avec le chasseur furent recensées tout au long de la fin des années 2930, chacune fournissant de petits indices sur ses capacités globales, avec d’autres moyens de renseignement non spécifiés complétant le tableau. Des études militaires de cette période, récemment déclassifiées, estiment que le vaisseau était à peu près équivalent au F7A Hornet ou au modèle civil Super Hornet.
Avis de la rédaction
Systèmes vitaux
Vol
Combat
Transport
Vie à bord
Equipements industriels
Pour le lancement officiel du Reliant, MISC choisit de ne pas mettre en avant la connexion avec les Xi'ans ou la similitude entre ses modes de vol et ceux du Khartu-al. Le fabricant préféra suivre les traces de sa campagne très réussie “Construit pour la vie”, et présenter le Reliant comme un vaisseau fonctionnel. Pour promouvoir cette idée, il offrit un lot de vaisseaux à diverses entreprises et professionnels, chacun accompagné d'une équipe chargée de tourner un documentaire. Quatre transporteurs Kore furent donnés à deux entreprises cherchant à financer des routes commerciales à court terme, deux Mako aux deux principales sociétés de diffusion sur Terra, un Sen à une expédition d'étude de la couronne d’une étoile, et un demi-escadron de Tana à un groupe de colons préparant leur installation sur une lune reculée (dont l'emplacement ne fut pas précisé dans ce marketing). Tous ces vaisseaux firent l’actualité partout où ils allèrent (quand ils ne diffusaient pas eux-mêmes cette actualité), et leur impact global fut impressionnant, communiquant au public le sentiment de leur omniprésence. Les concessionnaires MISC furent inondés de demandes d’informations, et le Reliant devint rapidement le vaisseau au lancement le plus réussi de l’entreprise. Dès l’année suivante, il s’imposa comme l'un des modèles les plus recherchés de la société, ce qui n’était pas rien pour le vaisseau devant assurer la relève du célèbre Freelancer !
Sans surprise, la Navy de l’Empire uni de la Terre sera parmi les premiers clients du San’tok.yāi. Selon le Bureau naval du budget et de la planification, l’armée a reçu l’autorisation de réquisitionner neuf de ces vaisseaux. Si ces exemplaires suivent le même schéma que les précédents modèles extraterrestres acquis par l’armée, ces San’tok.yāi seront répartis entre objets d’étude d’ingénierie destinés à être désassemblés et appareils d’entraînement pour simuler une force ennemie (l’Empire ne reconnaît pas formellement qu’il utilise des vaisseaux xi’ans ou des répliques de vaisseaux xi’ans dans la formation au combat, bien qu’il ait régulièrement acheté des Khartu-al pour des projets de recherche non spécifiés depuis leur introduction dans l’espace humain).
Les premiers témoignages militaires fiables sur le chasseur moyen xi’an en service remontent à 2937, lorsqu’un Hornet en mission d’entraînement se trouva à portée de scanner d’un groupe de six de ces vaisseaux en patrouille. Les informations recueillies lors de cette rencontre concernant sa vitesse et sa manœuvrabilité confirmèrent les théories existantes selon lesquelles il utilisait une version améliorée des propulseurs de manœuvre à double vecteur que l’on trouvait sur les Khartu-al antérieurs. En avril 2938, un avant-poste de télédétection enregistra deux chasseurs moyens xi’ans venant à la rescousse d’un transporteur assiégé par des pillards, hors de portée visuelle. Les données des capteurs confirmèrent les rapports de seconde main concernant le système de double propulsion amélioré et, surtout, l’analyse spectrale révéla pour la première fois que l’arme énergétique située dans l’axe central du vaisseau était un modèle d’arme à répétition laser jamais rencontré jusque-là. D’autres rencontres avec le chasseur furent recensées tout au long de la fin des années 2930, chacune fournissant de petits indices sur ses capacités globales, avec d’autres moyens de renseignement non spécifiés complétant le tableau. Des études militaires de cette période, récemment déclassifiées, estiment que le vaisseau était à peu près équivalent au F7A Hornet ou au modèle civil Super Hornet.
Cependant, l’Exposition aérospatiale intergalactique de 2948 rendit ces années de collecte de renseignements obsolètes avec l’annonce fracassante qu’un chasseur moyen de type civil était intégré par Aopoa dans sa gamme d’exportation ; la décision semblait motivée par près de trois décennies d’augmentation des ventes du Khartu-al à l’humanité. Le vaisseau, nommé le San’tok.yāi, fut révélé lors d’un opulent gala (sur invitation uniquement) célébrant largement la culture xi’an autour d’une représentation intégrale de l’āluo’a Thasyu se Xo’ma. Ce que découvrit le public, c’était un nouveau design xi’an impressionnant, que les militaires connaissaient déjà comme une évolution du chasseur moyen de première ligne qu’ils étudiaient depuis plus de dix ans. En tant que modèle d’exportation, le San’tok.yāi n’est pas une réplique exacte des vaisseaux militaires observés précédemment, mais sa conception et ses capacités s’en rapprochent suffisamment pour que l’on puisse affirmer qu’il en est dérivé. Sa structure générale et ses configurations de vol correspondent étroitement à ce qui avait été observé lors des rencontres décrites plus haut. Les propulseurs à double vecteur et les armes à répétition laser Yeng’tu, inclus dans le modèle de base civil, sont également conformes à ce que l’on savait déjà sur le vaisseau. En outre, toutes les images montrant les manœuvres du San’tok.yāi étaient en accord avec les observations militaires antérieures. Les capacités du San’tok.yāi sont si proches des caractéristiques connues du chasseur moyen xi’an, notèrent avec inquiétude les analystes, que sa révélation soudaine indique fortement que l’armée doit avoir accès à un modèle plus avancé encore jamais vu, concurrent potentiel du F8 Lightning récemment mis en service.