
Fury
Description
Le Fury est la version de base de la gamme Fury du constructeur Mirai. Cette série de vaisseaux monoplaces sans intérieur ni moteur quantique est conçue pour opérer depuis un autre vaisseau. La variante de base ne présente pas de point distinctif.

Timeline 2025
Par rapport à la version MAX, le Starlancer TAC : conserve une large soute arrière mais n’a pas la soute centrale qui descend comme un monte-charge. dispose également d’un hangar pour un vaisseau de petite taille comme un Fury. Pour faire de la place pour cet aménagement, le TAC ne dispose pas de chambres individuelles mais d’un dortoir. possède une infirmerie. C’est d’ailleurs le premier vaisseau jouable de MISC à en être équipé.
Le Starlancer TAC peut accueillir un Fury dans son hangar mais n’est pas vendu avec. Il peut également transporter un véhicule dans sa soute jusqu’à la taille d’un Storm.
Mirai Fury LX Développement, implémentation et équilibrage du vaisseau de course de Mirai, le Fury LX, en tant que véhicule prêt pour le jeu.
Avis de la rédaction
Systèmes vitaux
Vol
Combat
Transport
Vie à bord
Equipements industriels
Par rapport à la version MAX, le Starlancer TAC : conserve une large soute arrière mais n’a pas la soute centrale qui descend comme un monte-charge. dispose également d’un hangar pour un vaisseau de petite taille comme un Fury. Pour faire de la place pour cet aménagement, le TAC ne dispose pas de chambres individuelles mais d’un dortoir. possède une infirmerie. C’est d’ailleurs le premier vaisseau jouable de MISC à en être équipé.
Le Starlancer TAC peut accueillir un Fury dans son hangar mais n’est pas vendu avec. Il peut également transporter un véhicule dans sa soute jusqu’à la taille d’un Storm.
Spécialisé dans le combat, le Starlancer TAC se démarque par se tourelles ventrales couvrant presque 360 degrés autour du vaisseau. Il embarque 2 lits médicaux de taille 3, des sièges de débarquement, un hangar (taille Mirai Fury).
Signifiant “futur” en japonais, le nom Mirai rend hommage aux colons de Centauri, où se trouve le siège social de MISC, et incarne son objectif de créer la prochaine génération de vaisseaux. La création d’une filiale permettait également à MISC de conserver son identité industrielle tant appréciée, tout en offrant à l’entreprise un terrain d’expérimentation. Adjei fit valoir que le Fury devait lancer la filiale et convainquit le conseil d’administration en lui montrant le projet de vaisseau suivant, sur lequel travaillait déjà l’équipe. La création de Mirai, qui surprit nombre d’acteurs du secteur, marquait le changement le plus important pour l’entreprise depuis des décennies.
Lorsque la PDG de MISC Irena Adjei vit pour la première fois le prototype du Fury, elle passa plus d’une heure à tourner lentement autour de ce chasseur compact pour l’évaluer sous tous les angles. “Il respire à la fois l’ADN de MISC et une identité qui lui est propre”, déclara-t-elle au conseil d’administration. “Je suis convaincue que nous devons le faire, mais je ne pense pas que MISC doive le faire.” C’est par ces mots qu’Adjei trancha un débat qui divisait âprement le conseil d’administration, entre ceux pensant que MISC devait se concentrer sur les vaisseaux industriels et ceux souhaitant diversifier la marque. La PDG Adjei n’avait jamais pris parti, jusqu’au jour où elle proposa une solution qui satisfaisait les deux camps : la création de la filiale Mirai.
Dans les années suivantes, la PDG Adjei porta un grand intérêt à MISC-M et se rendit souvent dans la division pour vérifier ses progrès. Elle l’encouragea à adopter les valeurs de MISC tout en renouvelant son esthétique. Parallèlement, Adjei déclara au conseil d’administration que la division avait le potentiel d’augmenter considérablement les revenus de l’entreprise. Aux yeux des initiés, elle souhaitait depuis longtemps faire de cette division une filiale à part entière, en partie pour consacrer sa mission et ses vaisseaux comme distincts de MISC, sans vouloir cependant révéler ses intentions avant la production d’un deuxième vaisseau emblématique. Le Fury allait être ce vaisseau qui poussa la PDG Adjei à dévoiler son plan directeur. Une fois qu’il fut approuvé par le conseil d’administration, l’entreprise décida également de faire du Razor un vaisseau Mirai. Bien qu’au départ commercialisé sous la marque MISC, son histoire au sein de la division et ses liens avec le premier Daedalus rendaient ce choix idéal. L'avenir de la filiale haute performance de MISC reste un mystère pour quiconque n’appartenant pas à l’entreprise. Selon certaines rumeurs, Mirai pousserait l’intégration de la technologie xi’an vers de nouveaux sommets, renforçant l’enthousiasme des passionnés de vaisseaux, et chez les concurrents l’expectative envers la suite de l’aventure.
Pour l’implémentation du Fury, les développeurs ont dû modifier le code associé aux propulseurs rotatifs, ce qui a eu des répercussions sur d’autres vaisseaux, notamment le Gladiator. Les développeurs sont conscients que ce dernier n’est pas satisfaisant et sont à la recherche active d’une solution.
Mirai Fury LX Développement, implémentation et équilibrage du vaisseau de course de Mirai, le Fury LX, en tant que véhicule prêt pour le jeu.
Mirai Fury Développement, implémentation et équilibrage du chasseur parasite de Mirai, le Fury, en tant que véhicule prêt pour le jeu.
Mirai Fury MX Développement, implémentation et équilibrage du chasseur parasite de Mirai, le Fury MX, en tant que véhicule prêt pour le jeu.
Mirai Fury Développement, implémentation et équilibrage du chasseur parasite de Mirai, le Fury, en tant que véhicule prêt pour le jeu.