ICÔNE

890 Jump

Description

Le 890 Jump est un vaisseau de voyage de luxe du constructeur Origin Jumpworks, conçu pour un équipage de 8 personnes. Il présente un intérieur avec cinq suites et de nombreux aménagements pour les passagers, y compris un restaurant, un bar et une piscine.

Timeline 2025

1111/2412/2401/2502/2503/2504/2505/2506/2507/2508/2509/2510/25

les frégates (Carrack, Idris, 890 Jump) sont les vaisseaux les plus grands que les joueurs peuvent contrôler pour le moment

Dans le patch 3.23, des changements importants seront apportés aux prix des véhicules et des vaisseaux. Les développeurs ont mis au point une formule qui dépend de paramètres chiffrés comme la masse ou la vitesse, mais aussi du rôle et du constructeur. Par exemple : un Pisces C8R devrait coûter environ 500 000 UEC un Arrow environ 2 000 000 UEC un Constellation environ 10 000 000 UEC un Hammerhead environ 50 000 000 UEC un 890 Jump pourrait coûter 70 000 000 UEC Cette mise en cohérence de l’économie sera poursuivie dans les patchs ultérieurs.

Origin a accru ses capacités de production chaque année depuis le lancement du 300, profitant du succès de son design pour financer d’autres vaisseaux suivant la même philosophie esthétique. Qu’il s’agisse de la série 100, en entrée de gamme, de la série 600, à la fois belle et fonctionnelle, ou du luxueux vaisseau amiral 890 Jump, Origin continue de respecter la conviction fondamentale d’Andreas Lang, voulant que l’apparence et le maniement des vaisseaux parlent et correspondent à notre nature profonde.

Côté équipements, le 890 Jump dispose d'un hangar pouvant accueillir deux vaisseaux de la taille d'un 85X, d'un garage pouvant transporter n'importe quel véhicule terrestre, d'un infirmerie avec un lit médical de tier 2, d'une cuisine, et d'une armurerie. Il a aussi la particularité d'avoir deux cabines de pilotage, l'une située dans le château au sommet du vaisseau, et l'autre protégée en son coeur.

Avis de la rédaction

SC

Le 890 Jump est un vaisseau unique en son genre, car c'est le seul Yatch qui dispose d'équipements internes pour les loisirs des passagers.

Systèmes vitaux

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Avec deux centrales énergétique et deux refroidisseurs, le 890 Jump dispose d'une bonne redondance dans ses composants vitaux.

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Vol

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Les performances de vol sont en train d'être ajustées du fait des Master Modes. Pour l'instant, les vaisseaux d'une catégrie ont les mêmes performances. Cette analyse sera réalisée une fois que les vaisseaux auront été différenciés.

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Combat

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Niveau combat, le 890 Jump est dans la moyenne des vaisseaux de sa taille.

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Transport

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Le 890 Jump dispose d'une soute de 388 SCU, ce qui est très faible poru un vaisseau de cette taille. Mais elle permet de transporter de grands véhicules terrestres, et le 890 Jump dispose aussi d'un hangar pouvant accueillir deux 85X.

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Vie à bord

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Le 890 Jump dispose d'un haut niveau de confort pour des longs voyages.

Equipements industriels

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Ce vaisseau ne dispose pas d'équipements industriels.

Aucune des versions de l’Ironclad n’aura de systèmes de défense rapprochée (PDC en anglais). Ces tourelles automatisées sont réservées aux vaisseaux capitaux militaires, et à ceux où ils ont été promis lors de la vente concept (890 Jump, Constellation Phoenix, Reclaimer.)

D’autres vaisseaux vont recevoir des systèmes de défense rapprochés (PDC), notamment les vaisseaux capitaux comme le 890 Jump ;

Durant la quatrième décennie du 29ᵉ siècle, Origin Jumpworks avait consolidé sa réputation d’acteur majeur dans l’industrie florissante des vaisseaux personnels grâce à plusieurs gammes aussi luxueuses qu’accessibles, offrant des alternatives uniques par rapport à ses concurrents. Les modèles Origin, en rupture avec les débuts industriels de l’entreprise, se concentraient principalement sur des vaisseaux monoplaces ou à équipage réduit, chacun d’entre eux renforçant le sentiment que la moindre de ses pièces avait été étudiée avec autant de minutie que les rouages d’une horlogerie classique. Puis, en 2852, le PDG par intérim Kain Yolsen fit une annonce publique qui stupéfia aussi bien les observateurs du secteur que son propre conseil d’administration : Origin allait investir des milliards dans la création d’un “vaisseau amiral de la flotte”. Il précisa que ce vaisseau porterait le nom de “890 Jump”, conformément à cet imprévisible système d’Origin consistant à numéroter ses nouveaux modèles plutôt que de leur attribuer un nom. Avant le développement de ce 890 Jump, les vaisseaux d’affaires haut de gamme étaient un mélange hétéroclite de conversions et de designs sur mesure. Les ultra-riches pouvaient tout autant transformer des croiseurs militaires en surplus que faire construire des coques spécialement conçues à partir de composants de vaisseaux cargo standards. De telles méthodes impliquaient des coûts de centaines de millions de crédits, entraînant invariablement des coûts d’exploitation élevés et une maintenance exigeante, et ne rendant viables ces vaisseaux que pour un infime pourcentage de la clientèle potentielle. Le 890 Jump, annonça Yolsen, allait bouleverser cet état de fait en rendant les vaisseaux d’affaires privés plus facilement accessibles aux très riches et aux ultra-riches.

En conséquence, l'action d’Origin chuta lourdement, malgré le succès global de toutes ses lignes de production existantes. Puis, un peu plus de deux ans après la première mention du projet, l'entreprise cessa de communiquer sur le 890 Jump et en restructura l'organisation pour le faire entrer dans ce que les mémos internes appelaient “l'horizon des événements”. Tant qu’un premier vaisseau ne serait pas en état de voler, il ne serait plus fait directement mention du 890 Jump. La presse changea aussitôt de ton : là où les journalistes cherchaient auparavant à amplifier d’habituels problèmes de jeunesse en prévisions inquiétantes pour l'avenir d'Origin, ils se mirent à vouloir désespérément connaître le sort du vaisseau. “LE JUMP A-T-IL SAUTÉ ?”, titra un célèbre article de Mars Today, spéculant qu’Origin avait annulé le projet en secret, voire envisageait de transformer le travail déjà accompli en un nouveau type de cargo haut de gamme. Au final, la stratégie d’Origin porta ses fruits : les cours de bourse se stabilisèrent et le 890 Jump s'effaça de la mémoire du public, tandis que se poursuivait en coulisses le long processus de conception et de construction d’un nouveau type de vaisseau spatial et de l’infrastructure apte à le soutenir. En mars 2857, lors d'un événement spécial en orbite terrestre, Origin leva le voile et révéla le prototype de production du 890 Jump devant un public enthousiaste. Avec ses lignes fluides inspirées du nautisme de plaisance, ses fonctionnalités surprenantes et ses caractéristiques techniques inégalées dans sa catégorie, le nouveau design fit immédiatement sensation, et l’opinion bascula du jour au lendemain. Les médias posèrent la même question sous différentes formes : “Est-ce l'avenir des vols spatiaux ?” À l’ouverture des marchés le lendemain, l’action d’Origin atteignit un nouveau sommet et continua de grimper jusqu'à la sortie du 890 Jump l'année suivante. L’entreprise venait apparemment d’accomplir ce que les observateurs avaient jusque-là jugé totalement impossible : construire le vaisseau amiral de luxe haut de gamme promis par Yolsen six ans plus tôt.

Durant les neuf mois qui suivirent, alors que les premiers prototypes passaient les certifications et que les chaînes de montage commençaient à tourner, Origin fit la promotion du vaisseau auprès d'une galaxie qui, craignait-il au départ, n'était pas prête à accepter un design aussi radical. L’entreprise dépensa des sommes considérables pour promouvoir le look unique du 890 Jump, en essayant de l'associer au luxe par tous les moyens habituels : photos sur fond de grands paysages tropicaux, à proximité de phénomènes interstellaires spectaculaires, transportant célébrités et politiques populaires dans un luxe extrême… Leur analyse a posteriori suggéra que cet effort était superflu : le 890 Jump reste d’ailleurs le seul vaisseau Origin dont le budget marketing fut réduit dès les trois premiers mois après son lancement. Les nouveaux propriétaires, remplis d’espoir, étaient pressés de faire connaître ce nouveau vaisseau le plus largement possible autour d’eux, et les précommandes saturèrent rapidement sept années de production. Durant la décennie suivante, Origin eut du mal à suivre la demande : il allait désormais de soi que toute personnalité en vue possédât sa propre plateforme spatiale de luxe.

Tout au long du siècle suivant, Origin continua d'améliorer le 890 Jump sans altérer de manière significative la silhouette originale conçue par Wells. Bien que dix-neuf modèles aient été commercialisés à ce jour (sans compter les dizaines de modèles customisés pour des clients privilégiés), presque tous se sont limités à des modifications mineures visant soit à mettre à niveau la technologie du vaisseau pour l'adapter aux avancées de l’époque, soit à réaménager son intérieur pour rester en phase avec les nouveaux critères du luxe. Origin continua d’accorder une attention particulière à la présence du vaisseau dans la conscience collective, allant jusqu'à employer un service dédié aux relations médias pour promouvoir et gérer les apparitions du 890 Jump dans des films, séries vid et autres productions. Le plus grand défi du projet, nota Wells en quittant l'entreprise après le lancement de 2858, n'était pas le travail accompli pour construire un design aussi improbable, mais de s’assurer qu’il continue de trouver un écho auprès des clients au fur et à mesure de sa banalisation. De l'avis général, Origin y parvient parfaitement depuis près d'un siècle.

L'équipe de développement d'Origin persévéra et élabora en l'espace de 18 mois un plan raisonnable (bien qu’encore coûteux) pour concevoir et construire le 890 Jump. Dès le début, la société investit massivement dans des simulations à grande échelle afin de permettre au vaisseau d'utiliser les infrastructures d'amarrage et les chantiers de réparation existants malgré son esthétique radicalement différente. Le plus gros problème pour l'entreprise fut qu’ici, peut-être pour la première fois dans l'histoire moderne de l'aérospatiale, l'industrie était déjà au courant du projet. Aujourd'hui encore, les constructeurs n'annoncent généralement leurs développements qu’une fois un contrat militaire signé, ou, pour les projets civils, après le premier vol d’un prototype fonctionnel. Le 890 Jump, déjà atypique en soi, prenait forme sous les yeux de concurrents hostiles et d'une presse perplexe. Dès les premiers jours suivant l'annonce de Yolsen, le 890 Jump fut critiqué de toutes parts, qualifié tour à tour de “folie sans issue” et de “gaspillage criminel” des ressources d'une entreprise jusque-là prospère. Rares étaient les manchettes bienveillantes et, à mesure que la construction du prototype principal rencontrait les obstacles habituels, la presse dénonçait le “désastre à 50 milliards” de Yolsen.

Le seul problème, c’est qu’il n’y avait pas de 890 Jump. Au moment de l’annonce, aucun travail concret n’avait été entrepris, si ce n’est le constat qu’un tel vaisseau trouverait preneur. Il apparut rapidement que les analystes financiers d'Origin n'avaient pas étudié les coûts de conception et de construction d'un vaisseau d'une taille dépassant largement tout ce qu'ils avaient réalisé jusqu'alors, ni pris en compte les dépenses considérables nécessitées par la mise en place des infrastructures et des chaînes de production. Yolsen ne baissa pas les bras, promettant de mobiliser toutes les ressources d’Origin pour faire du 890 Jump une véritable révolution du voyage spatial de luxe.

Le changement le plus notable apporté au vaisseau survint en 2943, lorsque Origin ajouta des capacités de lancement et dévoila le vaisseau parasite 85x Limited, conçu sur mesure, désormais inclus avec toutes les commandes du 890 Jump. En octobre 2944, la PDG d’Origin Jennifer Friskers annonça qu’une nouvelle version était prête à entrer en production, avec l’ajout d’une piscine et d’autres aménagements jugés les plus adaptés aux célébrités des années 2940.

les frégates (Carrack, Idris, 890 Jump) sont les vaisseaux les plus grands que les joueurs peuvent contrôler pour le moment

Dans le patch 3.23, des changements importants seront apportés aux prix des véhicules et des vaisseaux. Les développeurs ont mis au point une formule qui dépend de paramètres chiffrés comme la masse ou la vitesse, mais aussi du rôle et du constructeur. Par exemple : un Pisces C8R devrait coûter environ 500 000 UEC un Arrow environ 2 000 000 UEC un Constellation environ 10 000 000 UEC un Hammerhead environ 50 000 000 UEC un 890 Jump pourrait coûter 70 000 000 UEC Cette mise en cohérence de l’économie sera poursuivie dans les patchs ultérieurs.

Question : Cette question fait l’objet d’un débat animé entre mes amis. Plusieurs idées ont émergé, allant d’un Cutter à un 890 Jump. Parmi les propositions :

Terrapin Spirit E1 personnalisé appelé “Imperator One” 600i Exec customisé 890 Jump customisé Carrack

Origin a accru ses capacités de production chaque année depuis le lancement du 300, profitant du succès de son design pour financer d’autres vaisseaux suivant la même philosophie esthétique. Qu’il s’agisse de la série 100, en entrée de gamme, de la série 600, à la fois belle et fonctionnelle, ou du luxueux vaisseau amiral 890 Jump, Origin continue de respecter la conviction fondamentale d’Andreas Lang, voulant que l’apparence et le maniement des vaisseaux parlent et correspondent à notre nature profonde.

Jour 1 de l’IAE – 18 novembre : Drake Kraken (Warbond & Store Credit), Drake Kraken Privateer (Store Credit), Jour 2 de l’IAE – 19 novembre : Origin 890 Jump (Warbond & Store Credit), Jour 3 de l’IAE – 20 novembre : Aegis Idris P (Warbond & Store Credit), Aegis Javelin (Warbond & Store Credit), Jour 6 de l’IAE – 23 novembre : Consolidated Outland Pioneer (Warbond & Store Credit), Jour 8 de l’IAE – 25 novembre : MISC Hull E (Store Credit), Jour 9 de l’IAE – 26 novembre : Constellation Phoenix (Store Credit),

Paul Reindell, notre directeur d’ingénierie pour la tech en ligne, a fait tourner un serveur, a rempli l’Entity Graph à son état initial ainsi que la couche de réplication (qui est essentiellement une mémoire cache pour l’état de l’univers/la base de données en backend qui existe dans le cloud pour s’assurer que les lectures/écritures de la base de données ne provoquent pas de goulot d’étranglement les serveurs et les clients), puis a connecté un client, a placé une série de petits objets comme des cannettes sur la surface d’Aberdeen, ainsi qu’un 890 Jump et un Anvil Arrow. Il a ensuite tué le serveur et le client. Le serveur a été redémarré, nous n’avons pas rempli l’Entity Graph (puisqu’il avait été préalablement “seedé” lors du démarrage initial), puis il a connecté un client, s’est rendu à Aberdeen et tout était là comme il l’avait placé. Il s’agissait d’une étape importante car l’état de l’univers était enregistré dans la base de données en backend et, lorsqu’il a redémarré le serveur, il s’est simplement connecté à la couche de réplication, qui s’était initialisée à partir de la base de données (l’Entity Graph) et a conservé l’univers dans l’état où il l’avait laissé.

IAE Jour 2  – 20 novembre : Constellation Phoenix IAE Jour 3 – 21 novembre : Aegis Idris-P, Aegis Idris Aftermarket Kit et Aegis Javelin IAE Jour 6  – 24 novembre : Origin 890 Jump IAE Jour 7 – 25 novembre : Consolidated Outland Pioneer IAE Jour 8 – 26 novembre : Drake Kraken, Drake Kraken Privateer, Drake Kraken Aftermarket Kit IAE Jour 9 – 27 novembre : MISC Hull E

Une blessure modérée nécessite l’utilisation d’un lit médicalisé de niveau 2, comme ceux d’une clinique ou des baies médicalisées de gros vaisseaux comme le Carrack ou le 890 Jump. Les blessures modérées accentuent fortement les effets subis avec des blessures mineures, avec quelques ajouts. Les blessures modérées feront boiter votre personnage qui poussera des râles de douleur. Si la blessure modérée touche la tête ou la poitrine, la stabilisation dans un lit médical de n’importe quel niveau est nécessaire.

Le transport de passagers n’est pas le rôle prévu pour ce vaisseau. Le système de survie est donc conçu pour un équipage maximum de trois personnes, avec une petite marge de sécurité. Ce n’est pas un vaisseau de fête ou de tourisme comme le 600i Touring ou le 890 Jump, il n’est donc pas équipé pour accueillir un grand nombre de passagers.

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Wiset

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