
Empreinte
Timeline 2025
Cette crise n'affecte pas les joueurs, ils peuvent toujours se régénérer à l’hôpital le plus proche. La raison est purement d'un point de vue gameplay : il serait trop punitif de tuer les personnages des joueurs actuellement. Cependant, il est toujours prévu d'intégrer l'idée à l'avenir que les empreintes soient de moins en moins fiables et qu'in fine le personnage du joueur puisse décéder à terme.
Les habitants de Terra se sont doutés que quelque chose n'allait pas après qu'une explosion a secoué le centre-ville de New Austin le mois dernier, et qu'un nombre surprenant de personnes avec empreinte n'ont pas réussi à se régénérer. Mirabelle Niven, enseignante à la retraite, a perdu ses fils jumeaux Auros et Delemont Niven dans l'explosion.
Si un personnage d’un joueur meurt pendant un voyage quantique ou dans un système où il vient d’arriver, il réapparaît normalement à son dernier point de sauvegarde d’imprint.
Les empreintes n'étant plus fiables, un retour aux anciens protocoles de sécurité s'impose.
Cette crise n'affecte pas les joueurs, ils peuvent toujours se régénérer à l’hôpital le plus proche. La raison est purement d'un point de vue gameplay : il serait trop punitif de tuer les personnages des joueurs actuellement. Cependant, il est toujours prévu d'intégrer l'idée à l'avenir que les empreintes soient de moins en moins fiables et qu'in fine le personnage du joueur puisse décéder à terme.
Les habitants de Terra se sont doutés que quelque chose n'allait pas après qu'une explosion a secoué le centre-ville de New Austin le mois dernier, et qu'un nombre surprenant de personnes avec empreinte n'ont pas réussi à se régénérer. Mirabelle Niven, enseignante à la retraite, a perdu ses fils jumeaux Auros et Delemont Niven dans l'explosion.
"Nous avons dépensé tellement d'argent pour ces empreintes", a-t-elle déclaré à la Gazette via Spectrum. "Le représentant nous avait promis que ça marcherait, alors nous étions sûrs que ça en valait la peine. Et maintenant, mes garçons sont morts."
Les empreintes ne sont plus viables pour la majorité de la population.
Le personnel hospitalier doit faire face à un nombre record de questions de la part de civils inquiets que leurs empreintes ne soient plus viables, et qui demandent des remboursements ou menacent d'intenter une action en justice suite aux récentes informations sur la défaillance de la technologie. Le personnel invite la population à éviter de faire la queue devant les centres de traumatologie en raison de l'impact sur les autres services essentiels.
Si un personnage d’un joueur meurt pendant un voyage quantique ou dans un système où il vient d’arriver, il réapparaît normalement à son dernier point de sauvegarde d’imprint.
La peine de mort existerait-elle encore comme forme de punition ? Le meurtre serait-il aussi sévèrement sanctionné qu’aujourd'hui ? Il semblerait qu'en général, les gens accorderaient moins de valeur à la vie puisque la mort ne serait plus définitive. En supposant qu'une personne ait fait une empreinte avant une mission dangereuse, le suicide non traumatisant (c'est-à-dire une pilule de cyanure) serait un moyen essentiellement valable d'échapper à la capture. Les activités économiques à haut risque seraient considérées comme plus viables. En fait, il est probable que la criminalité connaisse une forte augmentation pendant une certaine période, le temps que la société s'adapte au fait qu'être tué en commettant un crime ne représente plus “la fin”. Les ressources jugées autrefois trop dangereuses à extraire seraient activement recherchées par ceux qui ont les moyens de recourir à l’empreinte et à la régénération. Des actes autrefois considérés comme extrêmement nobles, comme un capitaine coulant avec son navire, deviendraient tout simplement banals, voire même exigés par contrat. Désolé, je sais que c'est un peu décousu, mais c'est quelque chose sur lequel je me pose de plus en plus de questions. J'aimerais bien connaître le point de vue de l'équipe narrative sur la régénération et ce qu'elle implique pour la société.
Cependant, au lieu d’entrer dans l’un de ces magasins alléchants, notre client se dirige tout droit vers un centre des Services de santé de l’Empire (EHS) situé à proximité, où s’affiche en grand cette annonce : “Scanners d’empreinte disponibles ici”.
Une sympathique INFIRMIÈRE explique le fonctionnement d’un terminal au client qui sélectionne de bon gré des options sur l’écran, montrant ainsi à quel point le processus de prise d’empreinte est simple et amusant.
VOIX OFF : Non seulement une empreinte actualisée vous protège d’une détresse émotionnelle excessive et d’une perte de mémoire potentielle durant la régénération…
VOIX OFF : Voilà exactement le cadeau idéal pour ce Luminalia : une empreinte à jour.
— Très bien. Je vous demande ça car votre dernière empreinte remonte à un certain temps. Si vous ne faites pas d’empreintes fréquemment, votre mémoire à court terme risque d’être un peu floue. Vous le savez, n’est-ce pas M. Arai… M. Arai ? »
— Je comprends parfaitement. Tous vos signes vitaux sont bons, vous pouvez donc sortir. Évidemment, prenez un peu de temps pour vous, et faites si possible votre empreinte un peu plus souvent. Ça pourrait faciliter les choses la prochaine fois. »
Pour pouvoir bénéficier d’une sphère Ibrahim, une personne a besoin d’une empreinte. En tant qu’enregistrement holistique de l’individu, ces empreintes enregistrent également l’âge du corps et les traumatismes mentaux et physiques préexistants. Ainsi, lorsqu’une personne subit des régénérations par la suite, elle continue à souffrir de toutes les conséquences normales du vieillissement, ainsi que des dégénérescences qui peuvent l’accompagner, et à souffrir de complications supplémentaires tels que les échos de réponse traumatique (TRE) qui peuvent altérer de façon permanente une empreinte et conduire progressivement à sa dégradation – ce qui ne fait qu’accélérer la dégénérescence naturelle de l’organisme. De plus, les personnes qui ne mettent pas assez souvent à jour leur empreinte peuvent souffrir de trous de mémoire lorsqu’elles se régénèrent, comme c’est le cas dans la nouvelle Dans la brume publiée dans le numéro de février du magazine Jump Point.